
"Quand un individu, ministre de l'Intérieur, affirme devant un parterre de ministres, que moi, Azouz Begag, j'ai des antécédents psychiatriques, quand il déclare qu'il faut associer immigration et identité nationale dans un même ministère, alors oui, je dis que cet individu est dangereux", dit-il à ce blog, créé pendant les violences urbaines de 2005 par l'hebdomadaire suisse L'Hebdo et repris par une équipe de jeunes journalistes.
L'ancien ministre délégué à la promotion de l'égalité des chances considère que "c'est un devoir personnel et politique majeur que d'informer les électeurs avant l'élection. Si je laisse faire, je pourrais être accusé de non assistance à pays en danger." Il reproche à l'ancien ministre de l'intérieur d'utiliser les procédés du Front national : "Je remarque qu'il n'a aucun scrupule pendant ces élections à jeter en pâture l'immigration, comme l'a fait Le Pen depuis 25 ans."
Azouz Begag revient également sur son expérience au gouvernement, estimant qu'il a été "victime d'une fatwa médiatique éhontée de la part de plusieurs journaux et chaînes de télévision". Il accuse Jean-Louis Borloo de lui avoir "savonné la planche" en minimisant son action au ministère.
L'ancien ministre délégué à la promotion de l'égalité des chances considère que "c'est un devoir personnel et politique majeur que d'informer les électeurs avant l'élection. Si je laisse faire, je pourrais être accusé de non assistance à pays en danger." Il reproche à l'ancien ministre de l'intérieur d'utiliser les procédés du Front national : "Je remarque qu'il n'a aucun scrupule pendant ces élections à jeter en pâture l'immigration, comme l'a fait Le Pen depuis 25 ans."
Azouz Begag revient également sur son expérience au gouvernement, estimant qu'il a été "victime d'une fatwa médiatique éhontée de la part de plusieurs journaux et chaînes de télévision". Il accuse Jean-Louis Borloo de lui avoir "savonné la planche" en minimisant son action au ministère.