A l'issue d'une rencontre avec la ministre, il a fait état "de garanties nouvelles et de gardes fous aux craintes des étudiants mobilisés", jugeant "rassurantes" les concessions de Mme Pécresse au mouvement étudiant qui agite une quarantaine d'universités (sur 85) depuis plus de trois semaines et des dizaines de lycées depuis une semaine.
Pour encadrer sa loi, il a expliqué que Valérie Pécresse s'était engagée à la "mise en place d'un cadrage national des diplômes", un texte qui garantit "l'égalité des diplômes et des étudiants sur l'ensemble du territoire", par le biais d'un "groupe de travail" qui étudiera l'harmonisation des intitulés et des modalités d'évaluation des étudiants.