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Le PS : un ' parti de la rose ' qui n'a plus d'épines

François Fillon s'en est vigoureusement pris jeudi au Parti socialiste, "parti de la rose" dont "ne restent plus que les épines, les luttes de clans, les règlements de compte, et les couteaux tirés"



Le PS : un ' parti de la rose ' qui n'a plus d'épines
"Pour prétendre rassembler le pays, encore faut-il savoir rassembler son parti!", a lancé le Premier ministre devant quelque 2.000 militants réunis porte de Versailles pour le dernier grand meeting de la campagne UMP avant le second tour des élections législatives.

Et a conseillé au PS de "se regarder dans la glace" au lieu de "jouer sur la peur et de miser sur la caricature". "Est-ce la faute des citoyens, si le parti de Jaurès et de Blum est devenu l'un des plus rétrogrades d'Europe? Est-ce la faute aux citoyens, si ce parti n'a toujours pas officiellement tranché entre la social-démocratie et le socialisme dirigiste?", a-t-il demandé.

"Cette vague qui fait si peur au Parti socialiste, ne fait pas peur aux Français", a-t-il lancé.


Vendredi 15 Juin 2007
IM