A l'approche du premier anniversaire des émeutes en banlieues, le 27 octobre, il a expliqué sur RTL que "rien n'a bougé" dans sa ville, d'où était partie la crise, même s'il a reconnu que la "réponse mérite d'être un peu nuancée".
Il a souligné que tous les élus locaux étaient favorables à une présence policière, mais il a plaidé pour une "police qui soit très proche de la population. "Le lien de confiance entre les policiers et la population est à retisser".
Or, actuellement, "on envoie les policiers au charbon", a déploré Claude Dilain. "On leur demande de régler la crise des banlieues, alors que c'est un problème uniquement politique. Il faut absolument que les politiques arrêtent de repasser la patate chaude aux policiers parce qu'ils n'en peuvent plus".
A la question de savoir si la réponse judiciaire était adaptée, le maire de Clichy-sous-Bois a répondu: "Je ne crois pas que les juges jugent ici de façon plus clémente qu'ailleurs mais l'exemplarité de la peine ici n'est pas suffisante".
Il a souligné que tous les élus locaux étaient favorables à une présence policière, mais il a plaidé pour une "police qui soit très proche de la population. "Le lien de confiance entre les policiers et la population est à retisser".
Or, actuellement, "on envoie les policiers au charbon", a déploré Claude Dilain. "On leur demande de régler la crise des banlieues, alors que c'est un problème uniquement politique. Il faut absolument que les politiques arrêtent de repasser la patate chaude aux policiers parce qu'ils n'en peuvent plus".
A la question de savoir si la réponse judiciaire était adaptée, le maire de Clichy-sous-Bois a répondu: "Je ne crois pas que les juges jugent ici de façon plus clémente qu'ailleurs mais l'exemplarité de la peine ici n'est pas suffisante".