
Cette étude souligne qu'entre 1999 et 2005 la population parisienne a progressé au rythme annuel moyen de 0,2%, "alors qu'elle baissait de 0,1% en moyenne entre 1990 et 1999, et que Paris avait perdu 171.000 habitants entre 1975 et 1999".
Cette augmentation de la population parisienne est notamment liée "à un plus fort dynamisme naturel", c'est-à-dire à un excédent des naissances sur les décès passé à +16.000 de 1999 à 2005 contre +12.000 entre 1990 et 1999. La progression de la population parisienne est également due à un déficit migratoire en baisse.
Cette étude constate aussi que "la population parisienne rajeunit", avec 20% de moins de 20 ans en 2004, contre 18% en 1999, et que Paris continue d'attirer, puisque 20% de sa population n'habitait pas cette ville cinq ans auparavant", en 2000.
Cette augmentation de la population parisienne est notamment liée "à un plus fort dynamisme naturel", c'est-à-dire à un excédent des naissances sur les décès passé à +16.000 de 1999 à 2005 contre +12.000 entre 1990 et 1999. La progression de la population parisienne est également due à un déficit migratoire en baisse.
Cette étude constate aussi que "la population parisienne rajeunit", avec 20% de moins de 20 ans en 2004, contre 18% en 1999, et que Paris continue d'attirer, puisque 20% de sa population n'habitait pas cette ville cinq ans auparavant", en 2000.