Le seul ministre UDF du gouvernement Villepin affirme dans Le Monde daté de mercredi 17 mai, qu'il ne votera pas pour le leader de son parti à la présidentielle de 2007, après la décision de se dernier de voter aux côtés des socialistes la motion de censure présentée mardi 16. "Je n'imagine pas voter pour quelqu'un qui est l'allié objectif du Parti socialiste".
"Ma crainte, c'est qu'à cause de lui, il n'y ait pas de candidat du centre en 2007 car François s'est rangé du côté de l'opposition", ajoute-t-il. Interrogé sur son maintien à l'UDF, le ministre de l'Education répond: "Je choisis d'y rester car on a le droit d'être minoritaire au sein de son propre parti".
Gilles de Robien invite "tous les élus et les sympathisants qui partagent la même analyse à se regrouper et à s'exprimer avant qu'il ne soit trop tard".
"Ma crainte, c'est qu'à cause de lui, il n'y ait pas de candidat du centre en 2007 car François s'est rangé du côté de l'opposition", ajoute-t-il. Interrogé sur son maintien à l'UDF, le ministre de l'Education répond: "Je choisis d'y rester car on a le droit d'être minoritaire au sein de son propre parti".
Gilles de Robien invite "tous les élus et les sympathisants qui partagent la même analyse à se regrouper et à s'exprimer avant qu'il ne soit trop tard".