Cet exercice d’état-major mettait en scène des attentats et prises d’otages massives simultanés à sept endroits du territoire répartis à Paris, sa banlieue, Lyon et Marseille. Purement virtuelle, cette simulation n’a pas mobilisé d’agents sur le terrain.
Elle visait à tester la réaction des différents services concernés du ministère de l’Intérieur, notamment les directions de la police nationale, de la gendarmerie, et de la sécurité civile, ainsi que la préfecture de police, les services de santé et les autres ministères concernés.
La ministre de l’Intérieur a rappelé que le pays "n’est pas plus menacé que d’autres", mais que la France "devait être capable de s’adapter à tous les risques d’attentats et à toutes (leurs) formes".
Elle visait à tester la réaction des différents services concernés du ministère de l’Intérieur, notamment les directions de la police nationale, de la gendarmerie, et de la sécurité civile, ainsi que la préfecture de police, les services de santé et les autres ministères concernés.
La ministre de l’Intérieur a rappelé que le pays "n’est pas plus menacé que d’autres", mais que la France "devait être capable de s’adapter à tous les risques d’attentats et à toutes (leurs) formes".