
Les candidats "font trop de campagnes en se regardant eux-mêmes", a estimé M. Delanoë sur Europe 1. "Qu'ils regardent la France, qu'ils regardent les Français !".
"On parle beaucoup trop des personnes au Parti socialiste et pas assez de notre projet", "nous ne parlons que du sauveur suprême ou de la sauveuse suprême, ce n'est pas sain", a-t-il estimé.
Pour M. Delanoë, "on ne devient pas président de la République en 2007 en France par plaisir ou par orgueil, par narcissisme, on devient président de la République parce qu'il y a un devoir", "parce qu'il y a un besoin".
Il a réitéré que lui-même n'était pas candidat. "Je ne vois pas les raisons qui pourraient me faire changer d'avis, elles seraient nécessairement gravissimes", a-t-il dit.
"On parle beaucoup trop des personnes au Parti socialiste et pas assez de notre projet", "nous ne parlons que du sauveur suprême ou de la sauveuse suprême, ce n'est pas sain", a-t-il estimé.
Pour M. Delanoë, "on ne devient pas président de la République en 2007 en France par plaisir ou par orgueil, par narcissisme, on devient président de la République parce qu'il y a un devoir", "parce qu'il y a un besoin".
Il a réitéré que lui-même n'était pas candidat. "Je ne vois pas les raisons qui pourraient me faire changer d'avis, elles seraient nécessairement gravissimes", a-t-il dit.