"Quand on parle des services publics, eux ne remettent pas en cause les directives de Barcelone qui ont décidé de les privatiser. (Les socialistes) refusent de remettre en cause l'accord de l'organisation mondiale du commerce", a-t-il notamment évoqué.
Pour le deuxième tour, José Bové a réaffirmé qu'il faisait "la différence entre la droite et la gauche". "Mais on va attendre le 22 au soir", a-t-il dit en appelant les électeurs à "se mobiliser", sans céder à "la pression" du PS sur le vote utile.
Il a cité "trois urgences, l'urgence sociale, l'urgence écologique et l'urgence démocratique".