Un plan, ce sont des chiffres et des mots
La FNSEA et les Jeunes Agriculteurs apprécient que le dispositifde janvier 2005 bénéficient de nouveaux budgets pour aider les nouveaux cas de viticulteurs, touchés par la crise, à franchir ce cap difficile. Les mesures de soutiens directs dont la prise en charge des cotisations sociales, sont dans cet objectif une très bonne chose.
En revanche, nous déplorons que des décisions essentielles n'aient pas été prises, notamment l'augmentation du montant de la préretraite ou encore l'exonération totale de la Taxe sur le Foncier Non Bâti.
Un plan, ce sont des chiffres et des mots.
Pour répondre aux maux viticoles il s'agit maintenant de connaître les échéances afin que l'on passe le plus vite possible de la parole à l'action. En témoigne la nécessité de mesures de gestion du marché parmi lesquelles la dynamisation de l'export. En outre la distillation de crise devra absolument être accordée à la France par Bruxelles dans les plus délais.
Si les principes du plan vont dans le bon sens, il ne reste pas moins que la gravité de la situation réclame d'aller plus loin. Il est impératif d'avoir dans les plus brefs délais une instance opérationnelle pour connaître et affecter la production, pour gérer les plantations et les rendements et pour s'occuper de tous les aspects de la commercialisation. Les pistes ne manquent pas pour sortir le monde viticole de la crise, le Ministre propose un chemin de développement, la FNSEA et les Jeunes Agriculteurs le prendront car il s'agit d'être responsables mais à chaque étape du plan, FNSEA et JA seront vigilants pour que ce chemin ne devienne pas un cul de sac !
Contact :
FNSEA
Arnaud LEMOINE
Tél : 01.53.83.48.83
Portable : 06.13.24.19.19
e-mail:arnaud.lemoine@fnsea.fr
Web: www.fnsea.fr
En revanche, nous déplorons que des décisions essentielles n'aient pas été prises, notamment l'augmentation du montant de la préretraite ou encore l'exonération totale de la Taxe sur le Foncier Non Bâti.
Un plan, ce sont des chiffres et des mots.
Pour répondre aux maux viticoles il s'agit maintenant de connaître les échéances afin que l'on passe le plus vite possible de la parole à l'action. En témoigne la nécessité de mesures de gestion du marché parmi lesquelles la dynamisation de l'export. En outre la distillation de crise devra absolument être accordée à la France par Bruxelles dans les plus délais.
Si les principes du plan vont dans le bon sens, il ne reste pas moins que la gravité de la situation réclame d'aller plus loin. Il est impératif d'avoir dans les plus brefs délais une instance opérationnelle pour connaître et affecter la production, pour gérer les plantations et les rendements et pour s'occuper de tous les aspects de la commercialisation. Les pistes ne manquent pas pour sortir le monde viticole de la crise, le Ministre propose un chemin de développement, la FNSEA et les Jeunes Agriculteurs le prendront car il s'agit d'être responsables mais à chaque étape du plan, FNSEA et JA seront vigilants pour que ce chemin ne devienne pas un cul de sac !
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FNSEA
Arnaud LEMOINE
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