Ce qu’il s’y dit est tellement surréaliste, négationniste, indigne de prétendus intellectuels qui ahanent et répètent à l’envi la propagande parfaitement huilée et orchestrée des grandes agences de presse occidentales que ça vous donne vite la nausée, puis l’envie de couper le son.
Mais il est trop important de prendre la mesure de l’ampleur du mensonge et de la manipulation des esprits que Laure Adler entretient avec d’un jeu subtil mais pernicieux de questions et réponses en déconnexion totale d’avec la réalité du terrain, une réalité qui peut être librement observée soit en écoutant les médias hors UE et OTAN comme la Norvège par exemple qui n’a rien d’une dictature ni d’un régime autoritaire.
Il faut interdire d’antenne toutes celles et tous ceux qui véhiculent des #fakenews et qui revisitent l’histoire, qui mentent par omission et qui, de facto, sont coupables de trafic d’influence.
Si Van der Leyen a cru bon d’interdire à RT France et à Sputnik d’émettre dans l’Union européenne pour cause de propagande, alors que cette règle s’applique à tous, à tous ces imbéciles qui cherchent uniquement à faire de l’audience, à vendre du papier sur fond de sang et de larmes.
Le Covid nous a fait prendre conscience de ce que pouvaient être des mensonges d’Etats et tant d’illusions depuis ont été perdues.
L’opération de démilitarisation en Ukraine et d’élimination de nazis qui ne se cachent même plus, parce que les accords de Minsk n’ont jamais été respectés du fait de la défaillance conjuguée de l’OSCE et de l’ONU après huit années de guerre ininterrompue ne se justifie pas mais s’explique tout comme la légitime volonté de la Russie de repousser l’encerclement chaque jour plus menaçant et provoquant d’une alliance atlantique sans légitimité ni utilité depuis la chute du mur.
Ce conflit armé en Ukraine est déplorable. Il est la conséquence de l’inconséquence d’un occident rédempteur mais aux mains pleines de sang, il est le moyen idéal de détourner l’attention des populations dans un contexte d’hyperinflation qui avait commencé bien avant, il est un moyen d’alimenter en milliards d’euros ou de dollars des réseaux mafieux qu’aucun gouvernement ne peut prétendre méconnaître.
Quant aux miliciens, comme les troupes Azov, qui prennent en otage femmes et enfants pour s’en faire des boucliers tout en tuant par milliers des civils ukrainiens innocents pour faire porter le chapeau aux russes, c’est la cerise sur un gâteau au goût amer surtout si l’on consent à reconnaître que sans les russes les nazis auraient gagné la seconde guerre mondiale. Ils ont d’ailleurs payé un tribut très lourd en pertes humaines, sans comparaison avec celles enregistrées par les héros du débarquement en Normandie.
La désinformation est devenue une arme d’asservissement politique. Ne pas lutter contre, ne pas s’insurger, ne pas rétablir la pluralité des sources et la liberté d’expression, c’est le prélude d’une ère funeste pour nous, pour nos enfants et peut-être pour les générations futures.
Quand les combats cesseront, rien ne nous permet de dire ni de croire qu’un retour à la démocratie, aux libertés fondamentales et à la solidarité soient acquis.
Méfions nous. Et n’oublions pas que le bulletin de vote est une arme de destruction massive !