Pour lui, "Nous sommes tous les enfants du Tour de France, nous aimons ses légendes et nous pleurons ses drames. Le rêve est brisé...". "Pourra-t-il renaître de ses cendres ? C'est sincèrement tout le mal que l'on souhaite aux organisateurs", écrit encore Jean-Pierre Brunois.
Le quotidien Libération avait déjà annoncé jeudi qu'il ne publierait plus le classement du Tour de France, "ni même le profil de l'étape", en raison des affaires de dopage.