Sous le titre "Non à une mort programmée", les salariés du quotidien avaient annoncé par avance qu'ils s'opposeraient au plan de reprise Brunois-Rey.
Leur projet prévoit de faire de France Soir un tabloïd populaire en ne reprenant que 51 salariés sur les 115 que compte aujourd'hui le journal.
Les représentants du personnel et les syndicats ont manifesté leur colère à l'annonce du choix du tribunal de commerce.