« Comme Manche Numérique s'y était engagée, le pari de la couverture totale du territoire est tenu »
« Comme Manche Numérique s'y était engagée, le pari de la couverture totale du territoire est tenu »
Le syndicat mixte des collectivités du département de la Manche viennent d'annoncer avoir couvert la quasi totalité de son territoire en connexion Internet haut débit.
Dès 2000, les élus manchois s'étaient investis dans la création d'un réseau de communication haut débit public.
La mise en place du projet s'est concrétisée avec la création du syndicat mixte Manche Numérique en juin 2004.
Le réseau WifiMax couvre un territoire de 5 000 km2, "la plus grande hotzone du monde ", selon le communiqué.
Entre 30 et 40 euros pour 2 à 4 Mbit/s
Pour l'heure, le Wimax (que l'on pourrait qualifier de Wi-Fi à très haut débit et sur de plus grande distance) n'est pas envisagé.
" Il le sera en temps voulu", assure le directeur de Manche Numérique, "notre réseau est compatible et le basculement se fera très vite.
Quand au CPL, le courant porteur en ligne utilisé dans les environnements résidentiels mais peu déployé en boucle locale électrique, il sera envisagé "là où l'ADSL et le Wi-Fi/Wimax ne pourra jamais arriver".
Les offres tourneront entre 30 et 40 euros par mois selon la souscription au service de téléphonie sur IP pour du 2 à 4 Mbit/s symétriques.
Dès 2000, les élus manchois s'étaient investis dans la création d'un réseau de communication haut débit public.
La mise en place du projet s'est concrétisée avec la création du syndicat mixte Manche Numérique en juin 2004.
Le réseau WifiMax couvre un territoire de 5 000 km2, "la plus grande hotzone du monde ", selon le communiqué.
Entre 30 et 40 euros pour 2 à 4 Mbit/s
Pour l'heure, le Wimax (que l'on pourrait qualifier de Wi-Fi à très haut débit et sur de plus grande distance) n'est pas envisagé.
" Il le sera en temps voulu", assure le directeur de Manche Numérique, "notre réseau est compatible et le basculement se fera très vite.
Quand au CPL, le courant porteur en ligne utilisé dans les environnements résidentiels mais peu déployé en boucle locale électrique, il sera envisagé "là où l'ADSL et le Wi-Fi/Wimax ne pourra jamais arriver".
Les offres tourneront entre 30 et 40 euros par mois selon la souscription au service de téléphonie sur IP pour du 2 à 4 Mbit/s symétriques.
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