"Libération doit avoir les moyens pour vivre et se développer", ajoute-t-il.
Aussi, les groupes socialistes de l'Assemblée et du Sénat, "souhaitent-ils que le Premier ministre et son gouvernement se saisissent de l'avenir du quotidien". "Un gouvernement démocratique ne peut rester insensible à la survie d'un grand journal", souligne Jean-Marc Ayrault.
"La disparition de Libération serait un jour noir pour le mouvement des idées dans notre pays. Aider la presse est un devoir pour l'Etat parce qu'il est le garant de la liberté d'expression", conclut le président du groupe PS du Palais-Bourbon.