D’ailleurs, plusieurs lancements de titres, positionnés en haut de gamme, sont d’ores et déjà annoncés pour les prochains mois. Et ces lancements interviennent après celui réussi du mensuel Femmes (du groupe Prisma Presse) qui est arrivé en kiosques jeudi.
En effet, pour Prisma, deuxième éditeur de presse magazine en France (avec Géo, Voici, Femme Actuelle, Télé Loisirs, ...) la presse féminine a encore de beaux jours devant elle pour autant que l’on segmente le marché en fonction des comportements de lecture et … d’achat. Et pour s’assurer de la réussite de ce nouveau venu dans les kiosques, le groupe s’est attaché les compétences d’une personnalité de la presse féminine, Marie-Claire Pauwels, à qui il échoit le soin d'attirer de nouvelles lectrices vers ce mensuel alliant culture et mode, ciblé sur les femmes de plus de 40 ans.
Son concurrent, le groupe italien Mondadori repreneur des Editions Mondiales et occupant de fortes positions avec Closer, Télé Star, Pleine Vie... est censé, quant à lui, lancer à l’automne un nouvel hebdomadaire, au nom suggestif et empreint de prestige, Grazia, un magazine qui ne serait en revanche que l’adaptation de l'un de ses titres-phare en Italie.
Parallèlement, le groupe Marie-Claire, toujours en pleine forme avec Marie Claire, Marie France, Avantages... ne peut rester indifférent à ce vent qui souffle fort sur le secteur et il travaille donc, de son côté, sur une version française adaptée de l’hebdomadaire britannique Look, un produit éditorial centré et sur les célébrités et sur la mode. Destination annonceurs donc. Peut-être là une erreur car les lectrices pourraient mal le prendre. Donc, rien n’est fait pour le moment mais si le lancement devait être décidé, il n'interviendra cependant pas avant début 2009 selon le groupe lui-même, au travers d’un communiqué.
Et pourtant, le marché de la presse féminine est déjà particulièrement encombré, avec plus de quarante titres en kiosques, qu'ils soient généralistes, de mode ou de bien-être. Mais les éditeurs, résolus à se lancer dans cette nouvelle aventure, se positionnent sur un segment bien précis et aux contours parfaitement définis : "haut de gamme", "luxe" et "sélectif". Tout en sachant qu’ils prennent, une fois de plus, bien des risques …
En effet, pour Prisma, deuxième éditeur de presse magazine en France (avec Géo, Voici, Femme Actuelle, Télé Loisirs, ...) la presse féminine a encore de beaux jours devant elle pour autant que l’on segmente le marché en fonction des comportements de lecture et … d’achat. Et pour s’assurer de la réussite de ce nouveau venu dans les kiosques, le groupe s’est attaché les compétences d’une personnalité de la presse féminine, Marie-Claire Pauwels, à qui il échoit le soin d'attirer de nouvelles lectrices vers ce mensuel alliant culture et mode, ciblé sur les femmes de plus de 40 ans.
Son concurrent, le groupe italien Mondadori repreneur des Editions Mondiales et occupant de fortes positions avec Closer, Télé Star, Pleine Vie... est censé, quant à lui, lancer à l’automne un nouvel hebdomadaire, au nom suggestif et empreint de prestige, Grazia, un magazine qui ne serait en revanche que l’adaptation de l'un de ses titres-phare en Italie.
Parallèlement, le groupe Marie-Claire, toujours en pleine forme avec Marie Claire, Marie France, Avantages... ne peut rester indifférent à ce vent qui souffle fort sur le secteur et il travaille donc, de son côté, sur une version française adaptée de l’hebdomadaire britannique Look, un produit éditorial centré et sur les célébrités et sur la mode. Destination annonceurs donc. Peut-être là une erreur car les lectrices pourraient mal le prendre. Donc, rien n’est fait pour le moment mais si le lancement devait être décidé, il n'interviendra cependant pas avant début 2009 selon le groupe lui-même, au travers d’un communiqué.
Et pourtant, le marché de la presse féminine est déjà particulièrement encombré, avec plus de quarante titres en kiosques, qu'ils soient généralistes, de mode ou de bien-être. Mais les éditeurs, résolus à se lancer dans cette nouvelle aventure, se positionnent sur un segment bien précis et aux contours parfaitement définis : "haut de gamme", "luxe" et "sélectif". Tout en sachant qu’ils prennent, une fois de plus, bien des risques …
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