Les nanotechnologies font l’objet d’un débat public national organisé par la Commission nationale du débat public (CNDP) qui a invité les CESR à s’exprimer sur un sujet d’importance pour la société civile. Le Conseil économique et social régional d’Île-de-France a préparé une contribution écrite destinée à être portée à la connaissance des organisateurs du débat (en pièce jointe de ce courriel).
M. Bergougnoux, président de la commission particulière sur les nanotechnologies, a rappelé que ce débat public, mis en place à l’initiative du Gouvernement, concerne 7 ministères et un secrétariat d’Etat. La CNDP a été saisie par une lettre du 23 février 2009 et c’est Jean-Louis Borloo, ministre d’Etat en charge de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire, qui assure le pilotage.
Pour Jean-Claude Boucherat, président du CESR d’Île-de-France, « les nanotechnologies posent en effet des interrogations majeures en termes d’éthique, de santé publique mais aussi de développement de la recherche scientifique, de l’innovation, dans un contexte de compétition mondiale. Toute la question est de savoir où tracer la frontière pour éviter que l’un de ces enjeux ne soit mis à mal ».
Il ajoute : « Je tiens à souligner le caractère équilibré de la contribution du CESR d’Île-de-France qui a voulu mettre en avant les spécificités de la situation francilienne, les nanotechnologies apparaissant comme une opportunité pour l’emploi et l’attractivité de notre région à condition que toutes les précautions soient prises ».
M. Bergougnoux, président de la commission particulière sur les nanotechnologies, a rappelé que ce débat public, mis en place à l’initiative du Gouvernement, concerne 7 ministères et un secrétariat d’Etat. La CNDP a été saisie par une lettre du 23 février 2009 et c’est Jean-Louis Borloo, ministre d’Etat en charge de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire, qui assure le pilotage.
Pour Jean-Claude Boucherat, président du CESR d’Île-de-France, « les nanotechnologies posent en effet des interrogations majeures en termes d’éthique, de santé publique mais aussi de développement de la recherche scientifique, de l’innovation, dans un contexte de compétition mondiale. Toute la question est de savoir où tracer la frontière pour éviter que l’un de ces enjeux ne soit mis à mal ».
Il ajoute : « Je tiens à souligner le caractère équilibré de la contribution du CESR d’Île-de-France qui a voulu mettre en avant les spécificités de la situation francilienne, les nanotechnologies apparaissant comme une opportunité pour l’emploi et l’attractivité de notre région à condition que toutes les précautions soient prises ».
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