Ségolène Royal, qui dit aussi penser pouvoir un jour accéder à la présidence de la République, a expliqué que les critiques venues des rangs socialistes après la défaite l'ont empêchée dans un premier temps de se livrer à cet exercice.
L'ancienne candidate du PS a toutefois reconnu "une improvisation dans l'organisation" de sa campagne, tout en estimant une fois de plus que les attaques venues de son propre camp avaient constitué "le principal point de faiblesse".