Le groupe français valorisé à environ 419 millions d'euros
"Selon des sources bancaires, le processus d'un rapprochement entre les deux sociétés « est sur la table »", indique le journal, qui ajoute que GFI Informatique ne fera pas d'annonce lors de la prochaine assemblée générale des actionnaires vendredi, se laissant le temps d'étudier la question.
La SSII a rejeté la semaine dernière une offre publique d'achat du japonais Fujitsu, jugeant son prix "largement insuffisant" tout en laissant la porte ouverte à une nouvelle offre du japonais.
Le groupe nippon, via sa filiale britannique Fujitsu Services, valorise le français à environ 419 millions d'euros.
Mais le scénario d'un rapprochement avec Bull serait vu d'un meilleur œil par GFI, qui insiste sur le "risque social" que représenterait un mariage forcé avec le japonais employant 600 personnes et ayant enregistré des pertes de 12 millions d'euros en 2006, selon le journal.
Pour Bull, qui a déjà cédé en mai sa filiale portugaise spécialisée en monétique à GFI Informatique, ce rapprochement rentre dans sa stratégie d'augmenter ses activités dans les services alors qu'il a encore enregistré des pertes de 17 millions d'euros en 2006 après avoir frôlé la faillite en 2005, explique encore le journal.
"Ces derniers mois, le président de Bull, Didier Lamouche, n'a pas caché que son entreprise avait vocation à mener une acquisition", de façon à porter la part des services à la moitié de son chiffre d'affaires d'ici 2008, souligne enfin le Figaro.
La SSII a rejeté la semaine dernière une offre publique d'achat du japonais Fujitsu, jugeant son prix "largement insuffisant" tout en laissant la porte ouverte à une nouvelle offre du japonais.
Le groupe nippon, via sa filiale britannique Fujitsu Services, valorise le français à environ 419 millions d'euros.
Mais le scénario d'un rapprochement avec Bull serait vu d'un meilleur œil par GFI, qui insiste sur le "risque social" que représenterait un mariage forcé avec le japonais employant 600 personnes et ayant enregistré des pertes de 12 millions d'euros en 2006, selon le journal.
Pour Bull, qui a déjà cédé en mai sa filiale portugaise spécialisée en monétique à GFI Informatique, ce rapprochement rentre dans sa stratégie d'augmenter ses activités dans les services alors qu'il a encore enregistré des pertes de 17 millions d'euros en 2006 après avoir frôlé la faillite en 2005, explique encore le journal.
"Ces derniers mois, le président de Bull, Didier Lamouche, n'a pas caché que son entreprise avait vocation à mener une acquisition", de façon à porter la part des services à la moitié de son chiffre d'affaires d'ici 2008, souligne enfin le Figaro.
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