Cheminement complexe et tarifs élevés mais sans excès
Dans un premier temps, les passagers pourrront envoyer et recevoir des SMS ainsi que se connecter à internet pour relever leur courrier électronique.
L'envoi et la réception de communications vocales ne seront expérimentés qu'ensuite. En revanche, aucune date n'a été communiquée pour cette seconde phase.
techniquement, le système est tout simplement basé sur un mini relais GSM embarqué à bord de l'avion, relais auquel se connectent les mobiles des passagers.
Grâce à ce "pont" réseau, les mobiles émettraient donc de façon très faible, de quoi, selon nos sources, ne pas perturber les instruments de bord de l'appareil. Ce qui rend certains experts dubitatifs ...
L'avion achemine ensuite les flux de voix et data vers un satellite qui, à son tour, les transmet vers une station située au sol.
Dernière étape : les flux d'informations sont ensuite dirigés vers le réseau téléphonique classique et plus précisément le réseau habituel du passager.
Grâce à ce système, les échanges de données pourront se faire dans de bonnes conditions de confort d'utilisation et la compagnie y voit là un moyen de commercialiser à bord encore davantage de services car ceux-ci seront en effet facturés par l'opérateur du client.
Rien que de très normal.
En outre, les tarifs seront comparables à ceux habituellement pratiqués lorsque le client est à l'étranger. Un tarif certes plus élevé que d'ordinaire mais bien moins que les communications satellitaires offertes jusq'ici.
L'expérimentation va s'effectuer sur Airbus A318 durant six mois. Et elle devrait s'étendre ensuite à la flotte récente de la compagnie sur tous les vols moyen et long courriers.
L'envoi et la réception de communications vocales ne seront expérimentés qu'ensuite. En revanche, aucune date n'a été communiquée pour cette seconde phase.
techniquement, le système est tout simplement basé sur un mini relais GSM embarqué à bord de l'avion, relais auquel se connectent les mobiles des passagers.
Grâce à ce "pont" réseau, les mobiles émettraient donc de façon très faible, de quoi, selon nos sources, ne pas perturber les instruments de bord de l'appareil. Ce qui rend certains experts dubitatifs ...
L'avion achemine ensuite les flux de voix et data vers un satellite qui, à son tour, les transmet vers une station située au sol.
Dernière étape : les flux d'informations sont ensuite dirigés vers le réseau téléphonique classique et plus précisément le réseau habituel du passager.
Grâce à ce système, les échanges de données pourront se faire dans de bonnes conditions de confort d'utilisation et la compagnie y voit là un moyen de commercialiser à bord encore davantage de services car ceux-ci seront en effet facturés par l'opérateur du client.
Rien que de très normal.
En outre, les tarifs seront comparables à ceux habituellement pratiqués lorsque le client est à l'étranger. Un tarif certes plus élevé que d'ordinaire mais bien moins que les communications satellitaires offertes jusq'ici.
L'expérimentation va s'effectuer sur Airbus A318 durant six mois. Et elle devrait s'étendre ensuite à la flotte récente de la compagnie sur tous les vols moyen et long courriers.
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