M. Meunier déplore dans cette missive une "réticulation administrative excessive (qui) ne semble pas la meilleure manière de répondre aux défis scientifiques qui attendent notre établissement".
En m'effaçant, je souhaite (...) hâter la mise en place d'une gouvernance renouvelée, plus adaptée aux actions que doit engager le CNRS pour assurer sa place au sein de l'ensemble du dispositif de la recherche française et européenne, ajoute M. Meunier dans sa lettre. Il estime que ceci doit se faire en se tournant vers des modes de fonctionnement simples et dynamiques, adaptés à l'environnement scientifique international.