Elles s'expliquent aussi par des améliorations apportées à la sécurité du système et enfin par les coûts de fonctionnement de Galileo Joint Undertaking, dont la création en 2003 n'avait pas été budgétée, selon lui.
Selon M. Grohe, ces dépenses supplémentaires portent à "environ 1,5 milliard d'euros" le coût de la phase initiale du projet, sur un total estimé à 4,5 milliards d'euros pour le développement et la mise en orbite du système complet, qui comptera 30 satellites.