Ainsi, 83% des dirigeants interrogés "déclarent que la réglementation sur les 35 heures et la réduction du temps de travail a été une mauvaise chose pour la France", souligne ce "baromètre des PME et de TPE". Parmi ces dirigeants, ils sont même 58% à estimer que les 35 heures ont été une "très mauvaise chose".
"Néanmoins, pour le futur", précise le sondage, les chefs d'entreprise "sont plus partagés sur les évolutions possibles de la réglementation".
Les dirigeants des petites et moyennes entreprises (PME) sont 61% à penser qu'il faut "maintenir la réglementation avec des aménagements", alors que ceux des très petites entreprises (TPE) souhaitent majoritairement qu'elle soit supprimée.
Seuls 25% des chefs de TPE "plaident pour leur maintien avec aménagements et 3% pour leur maintien en l'état. Par ailleurs, 28% déclarent ne pas être concernés", par les 35 heures.- Sondage réalisé du 10 au 17 novembre 2006 par téléphone auprès d'un échantillon national de 800 dirigeants de TPE (entreprises de 0 à 19 salariés) et de PME (entreprises de 20 à 249 salariés) "représentatif des entreprises de 0 à 249 salariés, selon la méthode des quotas (taille d'entreprise X secteur d'activité, région)".
L'institut précise que "l'échantillon a été raisonné pour disposer de 400 dirigeants de TPE et de 400 dirigeants de PME. Lors du traitement informatique des résultats, chaque catégorie a été remise à son poids réel afin d'assurer la représentativité des résultats, au regard des critères de la taille de l'entreprise, du secteur d'activité et du découpage géographique par région".
"Néanmoins, pour le futur", précise le sondage, les chefs d'entreprise "sont plus partagés sur les évolutions possibles de la réglementation".
Les dirigeants des petites et moyennes entreprises (PME) sont 61% à penser qu'il faut "maintenir la réglementation avec des aménagements", alors que ceux des très petites entreprises (TPE) souhaitent majoritairement qu'elle soit supprimée.
Seuls 25% des chefs de TPE "plaident pour leur maintien avec aménagements et 3% pour leur maintien en l'état. Par ailleurs, 28% déclarent ne pas être concernés", par les 35 heures.- Sondage réalisé du 10 au 17 novembre 2006 par téléphone auprès d'un échantillon national de 800 dirigeants de TPE (entreprises de 0 à 19 salariés) et de PME (entreprises de 20 à 249 salariés) "représentatif des entreprises de 0 à 249 salariés, selon la méthode des quotas (taille d'entreprise X secteur d'activité, région)".
L'institut précise que "l'échantillon a été raisonné pour disposer de 400 dirigeants de TPE et de 400 dirigeants de PME. Lors du traitement informatique des résultats, chaque catégorie a été remise à son poids réel afin d'assurer la représentativité des résultats, au regard des critères de la taille de l'entreprise, du secteur d'activité et du découpage géographique par région".
La Banque de France et l’Union nationale des CCAS partenaires dans la lutte contre le surendettement