25% se disent hostiles "car il s'agit d'une remise en cause du droit de grève". 5% ne se prononcent pas.
A la question de savoir si ce service minimum pouvait être appliqué à d'autres services publics comme l'Education nationale, 69% se disent favorables, 27% hostiles. 4% ne se prononcent pas.
Sondage réalisé les 18 et 19 juillet par téléphone auprès d'un échantillon représentatif de la population de 953 personnes d'après la méthode des quotas.