Mais Christine Boutin s'est dite"déterminée à ne pas tolérer que des campements s'installent dans Paris".
Selon elle, l'association Droit au logement (DAL), qui soutient activement les mal-logés de la rue de la Banque, devait lui remettre dès lundi 29 octobre une liste de noms de ces familles "jugées comme prioritaires pour le logement selon les critères de la [future] loi sur le droit au logement opposable" . Or, "cette liste n'a toujours pas été remise à ce jour", affirme-t-elle.
Elle a enfin assuré qu'elle ne se laisserait "influencer par aucune gesticulation médiatique, surtout lorsqu'elles émanent de personnalités très estimables dans leur métier mais totalement incompétentes sur les questions du logement".
Une rencontre a toutefois été programmée vendredi entre le DAL et la ministre.