La ministre ne se déclare toutefois plus favorable à la réquisitions de logements vacants comme elle l'avait fait durant la campagne présidentielle. "Je considère, en tant que ministre, que ma responsabilité est de travailler avec l'ensemble des acteurs liés à ce dossier pour parvenir à des solutions alternatives".
Elle ajoute qu'elle va prochainement "installer le comité de suivi du droit au logement opposable (DALO) puis mettre en place les commissions de médiation", qui constitueront une première étape avant un recours juridique.