« La crise économique a davantage touché les régions du Nord-est en termes d’emploi, et principalement les régions industrielles, écrit l’INSEE dans une récente étude (1). Les régions du Sud, dont l’activité est orientée vers le tertiaire, ont été les plus préservées. Le Poitou-Charentes, Rhône-Alpes, la Bretagne et les Pays de la Loire, jusque-là dans une dynamique positive, n’ont pas pour autant été épargnés par la crise. A contrario, l’emploi en Île-de-France a mieux résisté que ce que l’on aurait pu envisager».
À la suite de la crise, le chômage a augmenté dans l’ensemble des départements.
Les plus touchés sont ceux pour lesquels le taux de chômage était déjà très élevé sur la période précédente. Cependant d’autres départements épargnés jusqu’alors ont également subi une augmentation élevée. Les régions du Nord-est, comme la Franche-Comté, la Lorraine, la Picardie, la Champagne-Ardenne et la Bourgogne sont celles qui ont le plus perdu d’emplois avec la crise !
À l’opposé, les régions du Sud comme le Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées, Provence-Alpes-Côte-D’azur et l’Aquitaine ont moins souffert de la crise que les autres régions. Ces régions étaient auparavant dans une dynamique très positive.
À la suite de la crise, le chômage a augmenté dans l’ensemble des départements.
Les plus touchés sont ceux pour lesquels le taux de chômage était déjà très élevé sur la période précédente. Cependant d’autres départements épargnés jusqu’alors ont également subi une augmentation élevée. Les régions du Nord-est, comme la Franche-Comté, la Lorraine, la Picardie, la Champagne-Ardenne et la Bourgogne sont celles qui ont le plus perdu d’emplois avec la crise !
À l’opposé, les régions du Sud comme le Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées, Provence-Alpes-Côte-D’azur et l’Aquitaine ont moins souffert de la crise que les autres régions. Ces régions étaient auparavant dans une dynamique très positive.
La Banque de France et l’Union nationale des CCAS partenaires dans la lutte contre le surendettement