La présidente de l'organisation patronale, Laurence Parisot, lance mardi après-midi le traditionnel forum de rentrée du Medef en compagnie du président de la Commission européenne Jose Manuel Barroso, avant d'accueillir ministres, PDG d'entreprises du CAC 40, dirigeants syndicaux et personnalités diverses.
Parmi les responsables politiques attendus jusqu'à jeudi sur le campus HEC à Jouy-en-Josas (Yvelines), plusieurs personnalités, dont des candidats potentiels à l'élection présidentielle: François Bayrou (UDF), François Hollande et Jack Lang (PS), Dominique Voynet (Verts), Christine Boutin (UMP), mais aussi Daniel Cohn-Bendit (Verts) et Jean-Pierre Raffarin (UMP).
Le ministre de l'Economie Thierry Breton fera aussi le déplacement avec ses ministres délégués Jean-François Copé (Budget) et Christine Lagarde (Commerce extérieur). Nicolas Sarkozy est attendu jeudi pour la clôture des débats. Le ministre de l'Intérieur et président de l'UMP pourrait avoir à coeur de répondre à Laurence Parisot qui avait qualifié ses propositions économiques d'"intéressantes" mais "manquant de cohérence".
Le Medef s'est à ce jour peu exprimé sur les enjeux de la campagne présidentielle. L'organisation prévoit de ne faire connaître ses revendications à destination des candidats qu'à l'automne, dans un "Livre blanc", à moins que Laurence Parisot ne lève le voile lors du forum.
Quatre dirigeants syndicaux seront aussi présents, François Chérèque (CFDT), Jean-Claude Mailly (FO), Jacques Voisin (CFTC) et Bernard Van Craeneyst (CFE (-CGC), - la CGT a décliné l'invitation - , alors que s'ouvre mercredi une série de négociations sur le dialogue social dont Dominique de Villepin a fait une de ses priorités. Le rapport sur lequel le Premier ministre entend s'appuyer pour cette réforme a été rédigé par Dominique-Jean Chertier, ex-conseiller social de Jean-Pierre Raffarin à Matignon.
Ce rapport propose que les partenaires sociaux puissent se saisir de tout projet gouvernemental de modification du code du travail. Si patronat et syndicats parvenaient à s'entendre, le Parlement ne pourrait qu'accepter ou rejeter en bloc le texte issu de leur accord. Le Medef souhaite aller plus loin et obliger le Parlement à valider un tel accord, position qu'aucun de ses interlocuteurs syndicaux ne partage.
Politique, économique et social, le forum se veut aussi "sociétal", traduisant la volonté d'ouverture affirmée par Laurence Parisot.
Parmi les responsables politiques attendus jusqu'à jeudi sur le campus HEC à Jouy-en-Josas (Yvelines), plusieurs personnalités, dont des candidats potentiels à l'élection présidentielle: François Bayrou (UDF), François Hollande et Jack Lang (PS), Dominique Voynet (Verts), Christine Boutin (UMP), mais aussi Daniel Cohn-Bendit (Verts) et Jean-Pierre Raffarin (UMP).
Le ministre de l'Economie Thierry Breton fera aussi le déplacement avec ses ministres délégués Jean-François Copé (Budget) et Christine Lagarde (Commerce extérieur). Nicolas Sarkozy est attendu jeudi pour la clôture des débats. Le ministre de l'Intérieur et président de l'UMP pourrait avoir à coeur de répondre à Laurence Parisot qui avait qualifié ses propositions économiques d'"intéressantes" mais "manquant de cohérence".
Le Medef s'est à ce jour peu exprimé sur les enjeux de la campagne présidentielle. L'organisation prévoit de ne faire connaître ses revendications à destination des candidats qu'à l'automne, dans un "Livre blanc", à moins que Laurence Parisot ne lève le voile lors du forum.
Quatre dirigeants syndicaux seront aussi présents, François Chérèque (CFDT), Jean-Claude Mailly (FO), Jacques Voisin (CFTC) et Bernard Van Craeneyst (CFE (-CGC), - la CGT a décliné l'invitation - , alors que s'ouvre mercredi une série de négociations sur le dialogue social dont Dominique de Villepin a fait une de ses priorités. Le rapport sur lequel le Premier ministre entend s'appuyer pour cette réforme a été rédigé par Dominique-Jean Chertier, ex-conseiller social de Jean-Pierre Raffarin à Matignon.
Ce rapport propose que les partenaires sociaux puissent se saisir de tout projet gouvernemental de modification du code du travail. Si patronat et syndicats parvenaient à s'entendre, le Parlement ne pourrait qu'accepter ou rejeter en bloc le texte issu de leur accord. Le Medef souhaite aller plus loin et obliger le Parlement à valider un tel accord, position qu'aucun de ses interlocuteurs syndicaux ne partage.
Politique, économique et social, le forum se veut aussi "sociétal", traduisant la volonté d'ouverture affirmée par Laurence Parisot.
La Banque de France et l’Union nationale des CCAS partenaires dans la lutte contre le surendettement