
Toute la journée, le président a reçu les partenaires sociaux. Ils lui ont rappelé leur souhait de statuer sur la question eux-mêmes, par des négociations entreprise par entreprise ou au besoin, par des accords de branches.
L'objectif étant de parvenir à mettre en œuvre des dispositifs d'alarme sociale, à l'image de ce qui existe à la RATP.
Le président de la CFTC, comme le secrétaire général de FO Jean-Claude Mailly avant lui, se sont déclarés rassurés que Nicolas Sarkozy ne veuille pas « remettre en cause le droit de grève ».