Si Yvon Gattaz soutient que "personne ne s'en mettait dans la poche, ni les responsables patronaux, ni les responsables syndicaux", il n'en juge pas moins ce "moyen de financement pas clair du tout, tout à fait glauque, inavoué et tacite."
Et de conclure : "C'était l'omerta et il fallait bien qu'un jour, ça éclate."