Parmi les autres explications proposées, près d'un quart des personnes interrogées (24%) retiennent le développement des contrats aidés et 21% les départs à la retraite de la génération du baby-boom. Enfin, 1% ne se prononcent pas.
Même au sein de l'électorat de droite, seuls 15% des sympathisants de l'UMP et de l'UDF attribuent la baisse du chômage au dynamisme de l'économie et à la création d'emplois dans les entreprises privées (contre 5% des sympathisants de gauche).
Sonndage réalisé les 5 et 6 janvier par téléphone auprès d'un échantillon de 1.004 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, établi selon la méthode des quotas. AP