Dans le cadre de sa mission de prévention de l’enfance en danger, le Conseil général de Seine-Saint-Denis a créé ce lieu d’accueil de jour et de soutien à la fonction parentale. Trente-cinq familles sont ainsi suivies chaque année dans le Service d’Accueil de Jour (SAJ) de Bondy, avec pour objectif de chercher des alternatives au placement et à la judiciarisation des relations enfants/parents, en valorisant ces relations.
Le Président de la République a fait le choix de mettre l’accent sur la pénalisation et la sanction des parents pris en défaut. Au contraire, Claude Bartolone, Président du Conseil Général de Seine-Saint-Denis, préfère valoriser leurs potentialités, au-delà des difficultés ponctuelles qu’ils peuvent connaître. L’expérience des SAJ démontre en effet, que les politiques de détection et de prévention chez les familles fragilisées conduisent à une réduction importante du nombre de placements et de signalements.
La visite de Claude Bartolone s’inscrit donc dans une volonté de venir en aide aux parents, en inscrivant l’action publique dans la durée, loin de la logique de réponses émotionnelles, de court terme qui prévaut dans les choix politiques du Président de la République. Claude Bartolone estime ainsi que : « chaque fait divers ne doit pas conduire à une loi adoptée dans l’urgence : la protection de l’enfance mérite des réflexions et des actions approfondies ».
Le Président de la République a fait le choix de mettre l’accent sur la pénalisation et la sanction des parents pris en défaut. Au contraire, Claude Bartolone, Président du Conseil Général de Seine-Saint-Denis, préfère valoriser leurs potentialités, au-delà des difficultés ponctuelles qu’ils peuvent connaître. L’expérience des SAJ démontre en effet, que les politiques de détection et de prévention chez les familles fragilisées conduisent à une réduction importante du nombre de placements et de signalements.
La visite de Claude Bartolone s’inscrit donc dans une volonté de venir en aide aux parents, en inscrivant l’action publique dans la durée, loin de la logique de réponses émotionnelles, de court terme qui prévaut dans les choix politiques du Président de la République. Claude Bartolone estime ainsi que : « chaque fait divers ne doit pas conduire à une loi adoptée dans l’urgence : la protection de l’enfance mérite des réflexions et des actions approfondies ».
La Banque de France et l’Union nationale des CCAS partenaires dans la lutte contre le surendettement