Pour Olivier Besancenot, qui était interrogé lundi sur LCI, "bien sûr, c'est une déclaration de guerre de la part de Fillon, il le sait, d'ailleurs on l'attendait".
"Elle vient un petit peu plus vite que prévu car il y a des difficultés économiques qui se profilent en cascade pour le gouvernement", a ajouté le dirigeant d'extrême gauche.
Olivier Besancenot a souligné que face aux projets du gouvernement "à la rentrée sociale, il s'agit de répondre présent, dans la rue, dans les mobilisations".
Sans préjuger de la réaction des syndicats de salariés et des Français en général, l'ancien candidat à l'Elysée de la LCR a fait remarquer que "dès qu'on touche aux acquis sociaux arrachés par nos anciens ça peut très, très rapidement se transformer en bordel dans le pays".