Nicolas Sarkozy déclare souhaiter que 2008 voit la fin de la semaine des 35 heures
Nicolas Sarkozy déclare souhaiter que 2008 voit la fin de la semaine des 35 heures.
Prié de dire, lors de la première conférence de presse de son quinquennat à l'Elysée, s'il souhaitait que cette année soit celle de la fin des 35 heures, il a répondu : "Pour dire les choses comme je les pense, oui."
Nicolas Sarkozy a également précisé mardi, un peu, le concept de "politique de civilisation", qu'il avait lancé lors de son allocution de voeux le 31 décembre. "C'est une politique nécessaire quand il faut reconstruire les règles, les normes, les repères", a-t-il souligné.
S'inscrivant dans la lignée de la déclaration des droits de l'Homme, de l'école de Ferry ou encore de la laïcité, le président de la République a appelé à "inscrire le pays dans la longue durée et dans la profondeur d'une politique de civilisation", citant l'environnement, la santé ou encore l'éducation comme domaines concernés par cette politique de civilisation.
Au coeur de cette politique se trouva en 2008 la réforme des institutions, avec "la volonté de notre démocratie une démocratie irréprochable", a précisé Nicolas Sarkozy.
Prié de dire, lors de la première conférence de presse de son quinquennat à l'Elysée, s'il souhaitait que cette année soit celle de la fin des 35 heures, il a répondu : "Pour dire les choses comme je les pense, oui."
Nicolas Sarkozy a également précisé mardi, un peu, le concept de "politique de civilisation", qu'il avait lancé lors de son allocution de voeux le 31 décembre. "C'est une politique nécessaire quand il faut reconstruire les règles, les normes, les repères", a-t-il souligné.
S'inscrivant dans la lignée de la déclaration des droits de l'Homme, de l'école de Ferry ou encore de la laïcité, le président de la République a appelé à "inscrire le pays dans la longue durée et dans la profondeur d'une politique de civilisation", citant l'environnement, la santé ou encore l'éducation comme domaines concernés par cette politique de civilisation.
Au coeur de cette politique se trouva en 2008 la réforme des institutions, avec "la volonté de notre démocratie une démocratie irréprochable", a précisé Nicolas Sarkozy.
et propose de supprimer la publicité sur les chaînes télévisées publiques
Dans la perspective de la présentation le 22 janvier du "plan banlieues", mis au point par la secrétaire d'Etat chargée de la politique de la ville, Fadela Amara, le chef de l'Etat a rappelé quel était l'objectif principal de son gouvernement pour fournir à tous les mêmes chances dans la vie.
"Cette politique de l'égalité des chances aura pour ambition que chaque jeune des quartiers en difficulté reçoive une formation".
Promettant une "véritable révolution culturelle dans le service public de la télévision" en 2008, Nicolas Sarkozy a proposé aussi de supprimer la publicité sur les chaînes publiques.
Je veux "que l'on réfléchisse à une suppression totale de la publicité sur les chaînes publiques", a-t-il proposé lors de sa première grande conférence de presse à l'Elysée.
Les chaînes publiques pourraient alors être financées par une "taxe accrue" sur les chaînes privées et une "taxe infinitésimale" sur les abonnements à Internet et à la téléphonie, a-t-il précisé.
"Cette politique de l'égalité des chances aura pour ambition que chaque jeune des quartiers en difficulté reçoive une formation".
Promettant une "véritable révolution culturelle dans le service public de la télévision" en 2008, Nicolas Sarkozy a proposé aussi de supprimer la publicité sur les chaînes publiques.
Je veux "que l'on réfléchisse à une suppression totale de la publicité sur les chaînes publiques", a-t-il proposé lors de sa première grande conférence de presse à l'Elysée.
Les chaînes publiques pourraient alors être financées par une "taxe accrue" sur les chaînes privées et une "taxe infinitésimale" sur les abonnements à Internet et à la téléphonie, a-t-il précisé.
La Banque de France et l’Union nationale des CCAS partenaires dans la lutte contre le surendettement