Le taux de sanction sur les dossiers suspects atteint désormais 57% contre 18% précédemment, selon Les Echos. Toutefois, la proportion de chômeurs pénalisés reste néanmoins infime (2%) au regard du 1,7 million d'individus indemnisés par l'assurance-chômage, note le journal.
Ces sanctions "à la fois plus justes et plus fréquentes" sont le fruit de la réforme du contrôle des chômeurs qui a été mise en oeuvre le 2 août 2005, rappelle Les Echos.