«On prend nos responsabilités, on ne peut pas repousser un mouvement», a déclaré Laurent Russeil, secrétaire général adjoint de la CGT-cheminots, le premier syndicat de la SNCF.
En fin de semaine, l’ensemble des syndicats de l’entreprise ferroviaire ont tenté de se mettre d’accord sur la forme du mouvement et une date, sans y parvenir. «Il n’y a plus de réunion commune» des syndicats prévue, a ajouté Laurent Russeil.
La direction de la SNCF a indiqué que les deux préavis prévoient une grève de mercredi 20h à jeudi 20h.
La réforme des régimes spéciaux a déjà provoqué une grève le 18 octobre et surtout dix jours de grève en novembre à la SNCF.
A Paris, la CGT de la RATP a également prévu une journée de 24 heures de grève à la RATP mercredi, aussi pour peser sur les négociations en cours.