L'exposition « Perturbations » s'installe à l'Hôtel de Cabrière-Sabatier d'Espeyran (musée Fabre) du 31 mars au 16 septembre 2012. Des œuvres et sculptures contemporaines en céramique et en verre viennent bousculer les collections de cet hôtel particulier du XIXe.
Réalisées par une trentaine d'artistes, jeunes talents et artistes confirmés, français ou étrangers, les 80 œuvres de « Perturbations » donnent un aperçu de la création céramique et verrière contemporaine, en confrontant les générations et les styles.
Contrairement à une exposition classique « Perturbations » prend le risque d'investir un lieu chargé d'histoire, aux décors flamboyants. La question n'est pas de perturber violement les collections, au contraire, il faut trouver une harmonie, un dialogue entre les deux époques. Là où on ne pensait pas avoir la place d'ajouter des objets, les œuvres contemporaines se glissent, s'immiscent et s'imposent avec humour, force ou délicatesse.
Celui qui sera le plus perturbé ce ne sera pas forcément le lieu mais le spectateur, témoin d'une histoire détournée, avec ses propres mystères et sa propre sensibilité. L'exposition semble nous révéler les secrets enfouis de ce lieu d'exception. Ainsi les céramiques design d'aujourd'hui dialoguent avec la porcelaine utilitaire du XVIIIe siècle dans les vitrines du rez-de-chaussée. Le cabinet de travail devient cabinet de curiosité avec les œuvres en verre de Pipaluk Lake suspendues aux murs comme des morceaux de matière vivante... Une façon à la fois forte et décalée de créer un dialogue entre les œuvres contemporaines et les pièces du musée.
Née d'un partenariat entre le Musée Fabre de Montpellier Agglomération et Ateliers d'Art de France, l'exposition « Perturbations » vient troubler l'ordre établi.
Réalisées par une trentaine d'artistes, jeunes talents et artistes confirmés, français ou étrangers, les 80 œuvres de « Perturbations » donnent un aperçu de la création céramique et verrière contemporaine, en confrontant les générations et les styles.
Contrairement à une exposition classique « Perturbations » prend le risque d'investir un lieu chargé d'histoire, aux décors flamboyants. La question n'est pas de perturber violement les collections, au contraire, il faut trouver une harmonie, un dialogue entre les deux époques. Là où on ne pensait pas avoir la place d'ajouter des objets, les œuvres contemporaines se glissent, s'immiscent et s'imposent avec humour, force ou délicatesse.
Celui qui sera le plus perturbé ce ne sera pas forcément le lieu mais le spectateur, témoin d'une histoire détournée, avec ses propres mystères et sa propre sensibilité. L'exposition semble nous révéler les secrets enfouis de ce lieu d'exception. Ainsi les céramiques design d'aujourd'hui dialoguent avec la porcelaine utilitaire du XVIIIe siècle dans les vitrines du rez-de-chaussée. Le cabinet de travail devient cabinet de curiosité avec les œuvres en verre de Pipaluk Lake suspendues aux murs comme des morceaux de matière vivante... Une façon à la fois forte et décalée de créer un dialogue entre les œuvres contemporaines et les pièces du musée.
Née d'un partenariat entre le Musée Fabre de Montpellier Agglomération et Ateliers d'Art de France, l'exposition « Perturbations » vient troubler l'ordre établi.
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