L’exposition le thé histoires d’une boisson millénaire s’est achevée le 28 janvier après une prolongation d’un mois du fait de son succès en fin d’année dernière, ce qui a permis au musée Guimet de maintenir un excellent niveau de fréquentation durant tout le mois de janvier.
Avec au total 60 500 visiteurs en quatre mois incluant les ateliers culturels sur la thématique du thé, le musée Guimet se réjouit d’avoir, grâce à cette exposition au thème très universel, retrouvé les taux de fréquentation (collection permanente et expositions temporaires) qu’il n’avait plus obtenus depuis quatre ans. Les partenaires associés aux côtés du musée Guimet ont contribué dans leur domaine au succès de l’exposition : la fondation Aréva, le Palais des thés, le Mandarin Oriental Group et l’agence Terre Entière.
L’engouement général pour le thé a permis d’attirer un public renouvelé et diversifié, intéressé tout à la fois par la connaissance de cette boisson populaire mondialement consommée et aussi, par l’approche sensorielle et pédagogique proposée. Le partenariat avec le Palais des thés a offert aux petits comme aux grands la possibilité de prolonger le plaisir de la contemplation par celui de la dégustation des saveurs de thés.
Le public a pu même goûter le thé Guimet crée cette année et offert à tous les visiteurs pour l’occasion.
Autour de cette thématique, les ateliers culturels ont de leur côté connu un grand succès de même que l’auditorium, à travers une offre diversifiée de films, conférences, concerts et danses.
Le volet sensoriel sera renouvelé dès cet été avec l’exposition cuisine japonaise autour de l’artiste Rosanjin Kitaoji où seront présentés, dès le 3 juillet, des œuvres exprimant l’art culinaire japonais. Le public pourra à cette occasion découvrir en parallèle de cet événement les senteurs et saveurs de la cuisine japonaise.
Pour parachever le calendrier estival japonais, le musée Guimet présentera du 10 juillet au 7 octobre prochain, des textiles tsutsugakis japonais provenant d’une collection privée au Japon (l’une des plus riches au monde, présentées pour la première fois hors du Japon), ainsi que des pièces issues du fonds textiles de la collection Riboud du musée Guimet. L’art de tsutsugakis, qui connut son apogée à l’époque Edo (1630-1868), est particulièrement renommé pour son assemblage invisible de tissus et la vivacité de ses couleurs.
Avec au total 60 500 visiteurs en quatre mois incluant les ateliers culturels sur la thématique du thé, le musée Guimet se réjouit d’avoir, grâce à cette exposition au thème très universel, retrouvé les taux de fréquentation (collection permanente et expositions temporaires) qu’il n’avait plus obtenus depuis quatre ans. Les partenaires associés aux côtés du musée Guimet ont contribué dans leur domaine au succès de l’exposition : la fondation Aréva, le Palais des thés, le Mandarin Oriental Group et l’agence Terre Entière.
L’engouement général pour le thé a permis d’attirer un public renouvelé et diversifié, intéressé tout à la fois par la connaissance de cette boisson populaire mondialement consommée et aussi, par l’approche sensorielle et pédagogique proposée. Le partenariat avec le Palais des thés a offert aux petits comme aux grands la possibilité de prolonger le plaisir de la contemplation par celui de la dégustation des saveurs de thés.
Le public a pu même goûter le thé Guimet crée cette année et offert à tous les visiteurs pour l’occasion.
Autour de cette thématique, les ateliers culturels ont de leur côté connu un grand succès de même que l’auditorium, à travers une offre diversifiée de films, conférences, concerts et danses.
Le volet sensoriel sera renouvelé dès cet été avec l’exposition cuisine japonaise autour de l’artiste Rosanjin Kitaoji où seront présentés, dès le 3 juillet, des œuvres exprimant l’art culinaire japonais. Le public pourra à cette occasion découvrir en parallèle de cet événement les senteurs et saveurs de la cuisine japonaise.
Pour parachever le calendrier estival japonais, le musée Guimet présentera du 10 juillet au 7 octobre prochain, des textiles tsutsugakis japonais provenant d’une collection privée au Japon (l’une des plus riches au monde, présentées pour la première fois hors du Japon), ainsi que des pièces issues du fonds textiles de la collection Riboud du musée Guimet. L’art de tsutsugakis, qui connut son apogée à l’époque Edo (1630-1868), est particulièrement renommé pour son assemblage invisible de tissus et la vivacité de ses couleurs.
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