"On n'est pas dans une affaire autre que judiciaire", a-t-elle assuré sur RTL. "S'ils ont été libérés, ils ont été libérés sur le fondement d'un dossier judiciaire."
En ce qui concerne les six membres de l'ONG française qui demeurent en détention préventive à N'Djamena, inculpés d'"escroquerie" et "enlèvement de mineurs", leur sort relève de la loi tchadienne, a estimé Rachida Dati.
"Le Tchad est un pays souverain, donc la loi tchadienne s'applique aux faits qui ont été commis sur son territoire", a-t-elle déclaré.