Des femmes et des enfants font partie des victimes, ainsi que trois policiers.
Les explosifs étaient dissimulés dans une zone où les gens prennent le bus pour se rendre au centre ville de Bagdad.
L'arrivée des secours a été retardée à cause d'un pont endommagé sur la rivière Diyala, affluent du Tigre, encore en réparation après des attentats en mai.