Mme Bachelot espère ainsi faire bénéficier le patient d'une baisse des prix en faisant jouer la concurrence.
Roselyne Bachelot en attend "une amélioration de l'information, plus de choix et une baisse importante des prix publics de ces médicaments", car "quand un produit est vendu devant le comptoir, vous pouvez plus facilement comparer les prix".
Dans un premier temps, "environ 200 spécialités, répondant aux critères de sécurité définis par l'Afssaps", seront concernés. Notamment, des antalgiques, des médicaments ORL, dermatologiques ou des produits de sevrage antitabagique.
"Il s'agit d'une première liste, sachant qu'au total 3.000 produits sont potentiellement éligibles", indique Roselyne Bachelot.