Les tests ont été réalisés in vitro par l'équipe du professeur Xavier de Lambarellie, professeur de virologie à la faculté de la Timone et responsable de l'unité des virus émergents, a précisé le journal.
La molécule testée contre le chikungunya est une molécule déjà existante : elle est utilisée contre les affections parasitaires.
"Cette molécule, qui a déjà été utilisée par des millions de gens, est très peu toxique et ne présente pas de souci de tolérance", a expliqué au journal le professeur de Lambarellie, qui s'est toutefois refusé à donner le nom du médicament en question, "par crainte d'une ruée dans les pharmacies".
M. de Lambarellie a présenté les résultats de ses tests lundi au ministère de la Santé, a indiqué La Provence.