Le vaccin à base d'ADN a permis de réduire jusqu'à 50% des niveaux de la protéine bêta-amyloïde dans certaines parties du cerveau des rongeurs. La communauté scientifique estime que la surproduction de cette protéine endommage les cellules nerveuses en formant des plaques et pourrait ainsi favoriser le développement de la maladie.
De l'espoir donc mais aussi de la prudence : les scientifiques devront encore travailler pour mettre au point un vaccin qui pourra être testé sur des humains.