« Il y a un facteur qui joue contre [nous], il y a de nombreuses opérations dans le pays, et ils ne vont pas les suspendre, cela pourrait retarder [la libération] jusqu'à ce que les conditions de sécurité soient réunies pour les otages, a déclaré la sénatrice colombienne.
Je ne sais ni où ni quand aura lieu la libération » de Clara Rojas, bras droit d'Ingrid Betancourt, de son fils de 3 ans et de l'ancienne parlementaire colombienne Consuelo Gonzalez. »
Le gouvernement colombien a de son côté démenti avoir l'intention de s'ingérer dans le processus de libération. « Il n'y a de la part du gouvernement colombien aucune volonté d'interférer en quoi que ce soit », a déclaré le ministre de l'Intérieur, Carlos Holguin.