S'adressant directement au chef de la guérilla, Manuel Marulanda, le chef de l'Etat lui a demandé de relâcher Ingrid Betancourt, si possible pour Noël. "Monsieur Marulanda, vous pouvez réaliser ce rêve, vous pouvez sauver cette femme, vous pouvez montrer au monde que les Farc comprennent les impératifs humanitaires. Monsieur Marulanda, vous portez une lourde responsabilité", a-t-il solennellement déclaré.
Nicolas Sarkozy s'est également adressé à l'ensemble des otages: "La France ne vous oubliera pas", leur a-t-il assuré.