démocratiser cette technologie.
Technique de traitement du cancer, l’hadronthérapie vise à détruire les cellules cancéreuses en les irradiant avec un faisceau de particules. Révolutionnaire, elle a démontré des avantages certains sur la radiothérapie X classique : Plus précise, elle permet d’atteindre des cibles localisées en profondeur et de traiter des tumeurs cancéreuses non opérables ou résistantes aux rayons X/Y ; grâce à l’imagerie en temps réel, le clinicien utilise le faisceau d’hadrons comme un nano-scalpel en épargnant mieux ainsi les tissus sains environnants. Avec de meilleurs taux de réussite : les cellules touchées meurent 3 à 10 fois plus vite. Par exemple, il devient possible de traiter une tumeur au cerveau en 90 secondes, ceci sans anesthésie et sans douleur.
Depuis l’automne 2008, la Région Aquitaine s'active pour créer une dynamique autour de l'hadronthérapie. Le but est d’allier le savoir-faire du GSI (Gesellschaft für Schwerionforshung, laboratoire basé à Darmstadt), pionnier dans le traitement par hadronthérapie, avec la compétence du CELIA (CEntre Lasers Intenses et Applications - Talence) en matière de laser de puissance et celle de l’Institut Bergonié (centre de recherches, d’enseignement, de prévention et de traitement du cancer à Bordeaux). Leur coopération technologique permettrait de réduire la taille et donc le coût de ces équipements, qui valent plus de 100 millions d'euros aujourd'hui.
Cette collaboration portera sur les actions et les échanges de physiciens, médecins, biologistes, industriels et enseignants et se traduira également par le soutien financier de la Région Aquitaine à des thésards.
Technique de traitement du cancer, l’hadronthérapie vise à détruire les cellules cancéreuses en les irradiant avec un faisceau de particules. Révolutionnaire, elle a démontré des avantages certains sur la radiothérapie X classique : Plus précise, elle permet d’atteindre des cibles localisées en profondeur et de traiter des tumeurs cancéreuses non opérables ou résistantes aux rayons X/Y ; grâce à l’imagerie en temps réel, le clinicien utilise le faisceau d’hadrons comme un nano-scalpel en épargnant mieux ainsi les tissus sains environnants. Avec de meilleurs taux de réussite : les cellules touchées meurent 3 à 10 fois plus vite. Par exemple, il devient possible de traiter une tumeur au cerveau en 90 secondes, ceci sans anesthésie et sans douleur.
Depuis l’automne 2008, la Région Aquitaine s'active pour créer une dynamique autour de l'hadronthérapie. Le but est d’allier le savoir-faire du GSI (Gesellschaft für Schwerionforshung, laboratoire basé à Darmstadt), pionnier dans le traitement par hadronthérapie, avec la compétence du CELIA (CEntre Lasers Intenses et Applications - Talence) en matière de laser de puissance et celle de l’Institut Bergonié (centre de recherches, d’enseignement, de prévention et de traitement du cancer à Bordeaux). Leur coopération technologique permettrait de réduire la taille et donc le coût de ces équipements, qui valent plus de 100 millions d'euros aujourd'hui.
Cette collaboration portera sur les actions et les échanges de physiciens, médecins, biologistes, industriels et enseignants et se traduira également par le soutien financier de la Région Aquitaine à des thésards.
Les biologistes obtiennent le feu vert du ministère de la Santé sur un accord triennal