"Nous ne sommes pas encore sortis d'affaire. La plus grande vigilance est nécessaire, notamment dans l'ouest de l'île où le nombre de nouveaux cas baisse moins vite qu'ailleurs."
L'InVS "rappelle avec force" la nécessité pour les habitants de l'île de se protéger des piqûres de moustiques, vecteurs de la maladie, et de contribuer à la destruction des gîtes larvaires.
Le nombre total de personnes atteintes par le virus depuis treize mois s'élève à 218.000, soit 28% de la population de l'île. Depuis le 1er janvier, 155 certificats de décès mentionnent le chikungunya comme cause directe ou indirecte de la mort. L'âge médian des victimes est de 78 ans.