A cette date, 300 à 400 officines réparties dans six départements pilotes seront équipées, la généralisation étant prévue d'ici deux à trois ans. Sont concernés, les médicaments de prescription et ceux d'automédication.
Pas d'obligation toutefois. Si le patient veut tenir secrète "sa consommation de viagra", libre à lui "de demander que ce produit ne figure pas dans son dossier", a souligné le pharmacien. De même, "si un malade veut fermer son dossier, il peut le faire".
Par ailleurs, si un patient en vacances a oublié son l'ordonnance, sa carte vitale permettra au pharmacien local de lui délivrer une boîte du médicament prescrit. En revanche, ce système ne permettra l'exercice d'aucun contrôle sur les prescriptions frauduleuses.