L'interdiction sera maintenue "tant que les analyses de laboratoire pratiquées chaque semaine ne démontreront pas la disparition de la toxine", précise la préfecture.
La toxine - le dinophysis -, qui n'est pas détruit à la cuisson, entraîne notamment des troubles gastriques.
Les huîtres, les coques, les palourdes et les autres produits de la mer ne sont pas concernés par cet interdit.