La préfecture rappelle que "la consommation de moules atteintes par le dinophysis peut entraîner des désagréments gastriques, dans la majeure partie des cas, mais également des troubles plus importants "chez les personnes fragilisées" et que la cuisson des moules ne détruit pas la toxine.
Cette interdiction restera valable tant que deux analyses consécutives ne démontreront pas la disparition de la toxine. Le prochain prélèvement doit être effectué lundi 23 avril et les résultats seront connus le 26 avril.
Le 15 mars dernier, le préfet avait pris la même mesure de précaution pour des raisons identiques. L'interdiction avait été levée quelques jours plus tard, après des tests favorables.
La préfecture précise que "les huîtres, les coques, les palourdes et autres produits de la mer ne sont pas concernés par cette mesure".